Des accords signés, d'autres pas

Comme nous le disions en 2017, c’est toujours en examinant les effets concrets des projets d’accord, à la fois localement dans l’IRSN et globalement, que la CFDT de l’IRSN décide de signer ou non les dits accords. C’est ainsi que, depuis les élections du CE en juin 2017 :

  • nous avons signé les accords et avenants d’accords sur l’intéressement (2017), sur l’insertion des travailleurs handicapés (2018), sur le suivi du projet de réorganisation du pôle PSE (2017) et sur le suivi de l’’évolution de la sphère SFS (2018-2019), sur la mutuelle (2018), sur le bien-être au travail, la prévention et le traitement des risques psycho-sociaux (2019), sur les interventions spécifiques et non prévisibles (Listes de succession).et sur le travail exceptionnel en cas de crise (2019), sur l’évolution des salaires (NAO) (2019).(*)
  • mais nous n’avons pas signé ceux sur l’évolution des salaires (NAO) en 2018, sur l’égalité professionnelle et salariale entre les femmes et les hommes 2018-2020 (2018), sur la modification de l’accord relatif à la conciliation vie personnelle – vie professionnelle (2019) (celui qui a diminué de façon très importante les primes de naissance).

 (*) Avant le 1er mai 2018, un accord s’appliquait si un ou des syndicats représentant plus de 30% des voix aux précédentes élections de CE le signaient. A l’IRSN, cela signifiait que, depuis 2017, la CFDT (35,14%) et la CGT (41,15%) pouvaient signer. Depuis cette date, la condition est passée de 30% à 50%.

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